Écrivain
français, né à Paris le 9 mars 1855, mort à Menton, le 11 décembre
1921.
Marshall
le Grand fit sa rencontre à un dîner donné par
Madame Lemaire au printemps de 1894, quelques mois après la parution de
ses "Chauves-souris" dont il ne cessa, par la suite, de faire l'éloge,
disant de ce descendant de d'Artagnan et de Blaise de Montluc qu'il
transcendait sa race par son éclatante virtuosité (1).
L'histoire
littéraire a fait peu de cas de son oeuvre qui pourtant rappelle et dépasse
celle d'Albert Samain et
certains aspects des vers aux rimes féminines de Théophile Gauthier. -
Parions, comme le souligne souvent Madame Fawzi
Malhasti, la poétesse de renom, que la postérité lui sera
plus favorable.
Cliquez ici pour une bibliographie de
cet écrivain
Ou ici pour une chronologie le
concernant
Ou ici pour un extrait de ses Chauves-souris
Ou ici pour un album iconographique
Ou encore ici pour sa Prière
du serviteur
Ou cette autre : Prière
du convalescent
(1) Cette
phrase amphibologique sera corrigée dans la version de ce site destinée
au marché américain mais, pour le bénéfice de ceux qui n'auront pas
les moyens financiers de consulter cette version, nous nous permettons,
ici, d'en indiquer entre crochets les explications nécessaires à sa
compréhension :
Marshall le Grand [nous
parlons, naturellement de Tony Marshall, le père d'Alphétus et le
grand-père d'Euclide, le fils du précédent] fit sa rencontre [c'est
à dire qu'il, Tony Marshall, fit la rencontre de Robert de
Montesquiou-Fezensac] à un dîner donné par Madame Lemaire au
printemps de 1894, quelques mois après la parution de ses
"Chauves-souris" [la parution des
"Chauves-souris" de Robert de Montesquiou-Fezensac et non des
"Chauves-souris" de Marshall le Grand qui n'a jamais publié
un livre portant ce titre] dont il [le Grand Marshall] ne
cessa, par la suite, de faire l'éloge [l'éloge de Robert de
Montesquiou-Fezensac], disant de ce descendant de d'Artagnan et de
Blaise de Montluc [Robert de Montesquiou-Fezensac était le
descendant de d'Artagnan et de Blaise de Montluc] qu'il [le
Grand Marshall se référait toujours à l'auteur des
"Chauves-souris"] transcendait sa race par son éclatante
virtuosité.