Services des Archives - Fiches biographiques

Benoit et Marcelle Brisebois

                              


Note :

Le texte qui suit est extrait du Parfait Restaurateur, un bulletin d'information sur la restauration après sinistre qui paraît trimestriellement, publié par

 Benoît Brisebois, Restauration Après Sinistre Inc.

Conformément à sa politique, les articles publiés dans le Parfait Restaurateur peuvent être reproduits en tout ou en partie en autant que l'on fasse mention de la source et qu'on l'identifie à la firme de Benoît Brisebois, Restauration Après Sinistre Inc.


Fils d'un petit commerçant de Mascouche, Benoît Brisebois fonda sa première compagnie de restauration après sinistres à Saint-Lin dans les Laurentides (aujourd'hui Ville des Laurentides) avant d'étendre ses services à Rawdon et ses environs puis à Laval même où ses interventions rapides, ses estimations gratuites, son équipement moderne, son service de neutralisation d'odeur (avec garantie), son personnel qualifié et hautement spécialisé ont tôt fait eu d'attirer l'attention des Assureurs soucieux de donner à leur clientèle un service «Six étoiles»MD.

En moins de dix ans, son entreprise a connu une expansion fulgurante, ses services s'étant étendus au nettoyage de vêtements (buanderie, nettoyage à sec, traitement anti-bactérien, restauration de cuir, suède et de fourrure), à la reconstruction et la rénovation de résidences, de commerces et de sites industriels (barricadage, travaux de menuiserie, d'électricité et de plomberie, peinture, plâtrage et finition intérieure complète), à l'enlèvement de graffiti, à la disposition de débris et de matières polluantes, au nettoyage de drain de fondation,  au remplacement d'entrée d'eau, à l'installation de fosse septique, au transport de meubles et d'équipements, au nettoyage et au remplacement de tapis et de sous-tapis, à l'assèchement de documents, à la vérification des systèmes de ventilation, à l'évaluation de tableaux, photographies, gravures originales, oeuvres sur papier, sur toile, à la détection de faux-tableaux, etc.

Comptant aujourd'hui plus de 128 établissements dans la Province de Québec et en Ontario, Benoît Brisebois, Restauration Après Sinistre Inc., avec ses 239 partenaires affiliés dans le reste du Canada, compte aujourd'hui parmi les chefs de file dans le domaine de la restauration après sinistre.

***

Marié en premières noces à Noëlla Letendre de Terrebonne, Benoît Brisebois a dû se résigner à se séparer dans des circonstances atnuantes, mais a su trouver, en secondes noces, une coiffeuse-styliste de Ville d'Anjou corresponsant parfaitement à sa personallité hors-norme..

Le couple a commencé peu après ce second mariage à s'intéresser aux arts et plus particulièrement à la décoration intérieure lorsque, sur les instances de Madame, il s'est fait construire une résidence luxueuse à Ville de Lorraine, en banlieue nord-est de Montréal et ce, dans le quartier le plus chic de l'endroit.

Aidés au début dans leurs recherches par leurs architectes, divers designers, décorateurs et coloristes, Monsieur et Madame se sont vite familiarisés avec les techniques modernes de décoration et, en quelques mois seulement, ils ont su développer ce goût sûr qui fait qu'avec une fortune, même modeste, on peut réussir à créer, chez soi et dans ses buraux, un environnement accueillant pour ses amis et ses clients.

Puis, un jour, Madame eut un coup de foudre : pour une toile de Bernard Buffet, hors prix, avoua-t-elle par la suite, mais absolument essentiel au bien-être de son mari. - Ce fut le début d'une quête qui n'est pas près de se terminer selon leurs proches.

En effet, depuis l'achat de ce Buffet, rares sont les vernissages auxquels Monsieur et Madame Brisebois ne sont pas, depuis bientôt dix ans, présents et encore plus rares sont les boutiques de bibelots, de meubles anciens, de design où ils ne sont pas connus, que ce soit dans le Vieux Montréal, sur la rue Sherbrooke ou dans ces nouveaux quartiers aux boutiques exclusives, rue Notre-dame, a l'ouest du quartier Griffintown.

Au cours des cinq dernières années, le couple a fait trois voyages en Europe ets'est abonné aux Grands Concerts, aux représentations de l'opéra de Montréal et assiste régulièrement aux Concerts Du Maurier de même qu'aux spectacles des Grands Ballets Canadiens («Sans compter, ajoute Madame Brisebois, les fois où nous amenons des clients entendre et voir les artistes en vogues ou des comédies musicales.»)

Leur collection d'objets d'arts, ils l'ont commencée sans trop se soucier de sa valeur, achetant une sculpture ici, un tableau là, «selon l'inspiration du moment» (précise Madame Brisebois), pour en arriver, aujourd'hui, à une impressionnante quantité d'oeuvres en tous genres qui feraient l'envie de bien des connaisseurs, qu'ils soient de Villle de Lorraine ou d'ailleurs.

Invité à en commenter son contenu, Monsieur Henri Carras lui-même, l'ex-directeur du Musée du Grand Marshall, ne s'est pas fait prier pour dire  qu'il n'avait jamais rien vu de semblable au monde. - Quant au propriétaire de la Galerie Dion-Boutette de Repentigny, Monsieur Bois-Chappon, c'est, dit-il, un honneur et un privilège de compter parmi notre clientèle des gens aussi avisés.

On pourrait en rester là et comme l'ont fait plusieurs personnalités issues du milieu du commerce avant lui, Benoît Brisebois aurait pu renier ses sources et ne convoiter que les honneurs mais ce serait mal le connaître car, dans son opulente résidence, il a su conserver un coin bien à lui, pour, dit-il, ses amis de toujours, où, tous les samedis, avant d'enfiler son habit pour aller à une soirée culturelle, il les invite pour une partie de billard ou tout simplement, pour regarder sur écran géant, une partie de football américain (dont il reste un fervent amateur), au milieu de ses trophées de golf, ses plaques des clubs Rotary et Optimistes car, débordant d'énergie, Monsieur Brisebois est membre de trois clubs de golf et de diverses associations. 

Notons que les soupers gastronomiques et la dégustation de grands crus font également partie de la vie de ce couple exceptionnel.

Les Brisebois possèdent, outre leur propriété de Lorraine, un chalet à Bromont (près des pentes de ski, dans les Cantons-de-l'Est), une copropriété à Hollywood (Floride) et un pied-à-terre, rue du Docteur Penfield, à Montréal, dans une conciergerie surtout fréquentée par des artistes du cinéma et des gens de Radio-Canada.


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